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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 04:17
                                               Non-socialiste-au-MEDEF.jpg

À l’issue de la première semaine d’examen du projet de loi transposant l’ANI du 11 janvier, un certain nombre d’amendements ont été intégrés notamment sur la mobilité. 
Mais le compte n’y est pas !
Au moment où la crise politique guette avec l’affaire Cahuzac, il n’y a rien de plus urgent que de s’attaquer aux vrais problèmes. Faire payer les fraudeurs, pas les salariés ! Interdire les licenciements boursiers plutôt que de « sécuriser le licenciement économique » !

 
En fait une majorité à gauche est contre ce projet de loi tel qu’il est. Nous appelons à l’amender pour le dénaturer car il modifie substantiellement le Code du Travail en inversant la hiérarchie des normes, non seulement sur les accords collectifs d’entreprise dérogatoires mais aussi sur le contrat de travail individuel. La droite, qui en rêvait, est prête à le voter.
Au point où nous en sommes, le gouvernement devrait décider le retrait de ce projet avant son passage au Sénat. Car, ce qui est attendu c’est la procédure accélérée pour lutter contre la fraude fiscale, pour répartir les richesses pas pour détricoter le Code du Travail !

 
Si le gouvernement persiste dans son choix, alors il faudra accentuer la mobilisation pour qu’il revienne aux engagements de campagne : ceux pris il y a un an aux portes des usines de Pétroplus à Florange. La gauche est forte et rassemblée quand elle est aux côtés des salariés. Les socialistes doivent y revenir et vite. Nous sommes mobilisés en ce sens. Nous nous y emploierons sans relâche.
 
 
Jean- Claude Branchereau,
Olivier Mouret,
membres du bureau fédéral PS 76

Pour mémoire, extrait de l'argumentaire de campagne "Tordre le coup aux 10 mensonges de la droite" de François Hollande du 18 janvier 2012 suite au sommet social à l'Elysée

9. Non, les accords « compétitivité-emploi » ne garantissent nullement le maintien de l’emploi, au contraire ils contribuent à la baisse des salaires.


 - Le Gouvernement Sarkozy-Fillon propose aux partenaires sociaux la mise en place d’accords « compétitivité-emploi » dans les entreprises en difficulté. « Les accords de compétitivité, c'est permettre une négociation dans une entreprise pour revenir sur le temps de travail afin d'adapter la situation de l'entreprise à son environnement économique », a expliqué le Premier ministre.


 - Cette mesure vise à contourner le droit du travail pour mieux diminuer les salaires. En France, un cadre juridique protecteur fait de l’accord de chaque salarié une condition nécessaire à toute révision du salaire à la baisse. Ainsi, un accord collectif majoritaire pourra désormais permettre d’imposer une baisse de salaire à un salarié.


 - La droite veut utiliser la crise pour modifier la nature des rapports sociaux en défaveur des salariés, en donnant, par ces accords, un support juridique aux pratiques de chantage à l'emploi apparues au cours des dernières années. Les salariés de Continental, et d'autres entreprises, ont cru en ces accords instaurant un « travailler plus pour gagner moins » et qui n’ont pas empêché l’ouverture de  plans de licenciements ou de suppression d’effectifs.

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 06:50

 

            Communiqué du Parti Socialiste Poing et rose

 

MP-de-la-Gontrie.jpg        Marie-Pierre de la Gontrie,

Secrétaire nationale aux libertés publiques et à la justice

Matthias-Fekl.jpg          Matthias Fekl,

Secrétaire national aux institutions, à la réforme et à la modernisation de l’Etat

 

 

Affaire Sarkozy/Bettencourt : intimidation ? Nervosité ? La droite met à mal l’indépendance de la justice

 

La mise en examen par 3 juges indépendants de l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, soulève à droite une avalanche de réactions inacceptables et  irresponsables.

 

Tout en rappelant la présomption d'innocence de Nicolas Sarkozy, nous condamnons les attaques de la droite qui, comme à son habitude, met en cause la compétence et l’intégrité des magistrats mais aussi l’indépendance de la justice. Elle continue à considérer les magistrats comme des "petits pois" selon la formule de Nicolas Sarkozy, au mépris de nos institutions républicaines.

 

En accusant le juge d’instruction de « déshonorer la justice », Henri Guaino met gravement en cause le fonctionnement de nos institutions, et compromet le travail de la justice pourtant seule à même d’établir l’innocence proclamée de Nicolas Sarkozy.

 

François Hollande s’était engagé à mettre fin aux instructions au parquet dans les affaires individuelles, engagement mis en œuvre dès la circulaire de politique pénale de Christiane Taubira du 19 septembre 2012, et qui sera traduit dans le projet de loi relatif aux relations chancellerie parquet qui sera présenté mercredi en Conseil des ministres.

 

L’ouverture cette semaine par le parquet de Paris d’une information judiciaire pouvant viser un ministre en exercice suffit à démontrer que le gouvernement respecte cet engagement, et laisse  la justice suivre son cours dans le respect de nos institutions .

 

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 06:37

 

                                                 Non-au-MEDEF.jpg

 

 

Plusieurs responsables socialistes départements et élus locaux lancent un appel "pour renforcer les droits des salariés" et afficher "un Non socialiste au Medef".

Dans leur texte ils appellent à amender le projet de loi sur la sécurisation de l’emploi en listant les 6 points essentiels à leurs yeux (mobilité, CDI, refus des accords emploi/compétitivité, droits contre les licenciements économiques, maintien de la hiérarchie des normes, recours au juge civil et prud’hommal …).

Ils rappellent les attentes qui ont porté la gauche au pouvoir et appellent à y répondre. Ils en soulignent l’urgence pour les salariés et « pour la gauche aussi » en concluant « il n’y a rien de plus urgent quand on est socialiste ».

Vous pouvez signer ce texte sur le site : http://nonsocialisteaumedef.tumblr.com/

Ce matin (19 mars), plus de 400 responsables socialistes locaux dans plus de 30 départements ont signé ce texte.
Premiers signataires
 
Olivier Mouret BF 76 – maire-adjoint de Rouen
Valérie Auvray BF 76 – conseillère régionale Hte Normandie
Nicolas Vincent CF 76 – secrétaire section Pavilly
Christophe Courcoux BF 76 – Fécamp
Jean Claude Branchereau BF 76 – Sotteville-lès-Rouen
Patrick Giraud – maire adjoint Le Trait
Philippe Lavergne – maire adjoint Maromme
Laurent Demare – maire adjoint Fécamp
Jacky Héloury – conseiller général – maire de Néville
Michael Mathieu – conseiller municipal délégué Fécamp
 
Antoine Tredez,  Christophe Pouliquen, Jacques Bennetot …
Les membres du Bureau National du PS
Emmanuel Maurel, Marie-Noëlle Lienemann, Gérard Filoche, Marianne Louis, Jérôme Guedj, Julien Dray, Jean-François Thomas, Anne Ferreira, Jonathan Munoz
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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 06:50

 

 

 

Adeline Hazan Communiqué de presse par Adeline Hazan, Conseillère auprès du Premier secrétaire en charge de la parité.


 
L’UMP a rendu public son nouvel organigramme. Parmi les 20 vice-présidents, ne figure qu’une seule femme.

 
 
Difficile de s’en étonner : la droite a montré avec une grande constance ces dernières années l’absence totale d’intérêt qu’elle porte à l’égalité entre les femmes et les hommes et notamment à l’accès des femmes aux responsabilités politiques.

 
 
La réforme territoriale qu’a portée l’UMP en 2009 aurait, par le recul du scrutin de liste au profit du scrutin uninominal, fait perdre aux femmes 60% des sièges qu’elles occupent dans les conseils généraux et régionaux. Le groupe UMP à l’Assemblée nationale ne compte même pas 15% de femmes. Les députés UMP s’illustrent chaque jour, à l’occasion des débats sur le projet de loi ouvrant le mariage aux couples de même sexe, par des déclarations sur le rôle des femmes dans la famille et la société dignes des années 1950.

 
 
A l’inverse de l’UMP, les socialistes sont résolument engagés pour les droits des femmes et la parité. Le gouvernement est entièrement paritaire. Depuis le Congrès de Toulouse, les instances nationales du PS sont paritaires.

 
Le Parti socialiste rappelle que la parité n’est pas un gadget. Elle est un puissant levier de lutte contre l’exclusion des femmes de la prise de décision et la monopolisation du pouvoir par les hommes. L’accès des femmes aux responsabilités politiques et plus largement à la sphère publique est une condition de leur émancipation. L’UMP s’illustre une fois de plus comme le temple du conservatisme et du machisme. De leur côté, les socialistes continueront de mener une politique volontariste et progressiste en matière d’égalité entre les femmes et les hommes.

 

                                                                                  Poing-et-rose.jpg

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 19:56
                   Petroplus-copie-1        
                  
Le PS de Seine-Maritime appelle au rassemblement avec les salariés de Pétroplus, mardi 5 février à 12h, sur le parvis de la raffinerie, à Petit-Couronne.

 
Cette date est celle que la justice a fixée pour le dépôt des offres de reprise. Il s’agit d’une étape cruciale vers le dénouement du processus judiciaire, dont l’issue sera la décision du Tribunal de commerce d’autoriser ou non la reprise, en précisant par qui. Depuis près d’un an et demi, les militants et élus socialistes de Seine-Maritime accompagnent les salariés de Pétroplus dans leur combat pour la survie de l’outil de production et des emplois qui y sont associés, les leurs mais aussi tous ceux que l’activité induit dans la commune et au-delà. Par leur présence systématique aux rassemblements initiés par l’intersyndicale, les militants socialistes ont contribué à montrer l’attachement des Seinomarins à l’avenir de ce site, où se joue en partie celui de la filière.

Ils étaient encore nombreux, samedi dernier, au siège départemental du PS, pour la présentation de l’ouvrage Debout relatant la lutte « des Pétroplus ». Par leur travail aux côtés des acteurs de cette lutte, les élus socialistes, emmenés par Dominique Randon, maire de Petit-Couronne, et Guillaume Bachelay, député de la circonscription, ont contribué aux succès déjà enregistrés : redémarrage à l’été 2012, « loi Pétroplus » réservant l’utilisation des stocks à des fins productives, débat européen sur les importations de produits raffinés, valorisation du rôle des syndicats, proposition de loi sur la cession des sites rentables….


Depuis son installation, le nouveau gouvernement a oeuvré à lever tous les obstacles administratifs à la reprise. C’est aujourd’hui acquis. Il appartient désormais aux entreprises intéressées de démontrer leur capacité à assumer durablement l’ensemble des obligations auxquelles le dépôt d’une offre les engagera. Au-delà, le PS et ses élus considèrent que Shell doit enfin prendre ses responsabilités, en apportant son appui aux efforts de tous. Il n’est pas acceptable que Shell ait exploité ce site pendant des décennies, avant de le céder à Pétroplus sans garantie industrielle, mais s’exonère à présent de toute contribution.


Ce combat durera sans doute au-delà du processus judiciaire. Il sera mené avec la même détermination.

 
PS Seine-Maritime, Rouen le 4  février 2013

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 17:19

Arcelor.jpg       

                                                                     Petroplus1.jpg


 

François Hollande a annoncé que le redressement dans la justice serait le maître mot de son mandat. Le redressement productif est une priorité absolue du gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Les « plans sociaux » et les fermetures d’usines se multiplient. Nombre de ces décisions, différées après les présidentielles, sont les conséquences de dix ans de politique de droite conduisant à la désindustrialisation du pays. L'expérience nous l'a appris : toute activité fermée ne sera pas ré-ouverte de sitôt et risque de ne plus jamais pouvoir s’implanter en France.



Face à l'urgence de la situation, face au risque majeur de désertification économique de régions entières, face à la nécessité absolue de sauvegarder notre outil industriel et nos savoir-faire, pour être prêt le moment venu à participer à la reprise de l'activité, nous allons agir.

 


 

Les militants socialistes appuient toutes les initiatives du gouvernement en affirmant que la solidarité avec les salariés ne se limite pas à des paroles.



 

 Les salariés de notre pays doivent savoir que la puissance publique est prête à s'engager:


- pour la sauvegarde de l'emploi,

- pour la défense des secteurs clefs de l’industrie.

- pour favoriser sa mutation et sa modernisation.


Pour y parvenir, il nous faut au plus vite  adopter les mesures législatives contenues dans le projet présidentiel:   l’obligation de reprise lorsqu’un repreneur crédible existe,  l’interdiction des licenciements boursiers,  la modernisation et la consolidation des SCOP ( reprise d'une entreprise par les salariés eux-même),   la mobilisation du capital public à travers la Banque Publique d’Investissement, l'intervention de l'Etat si nécéssaire.

 


 

Pétroplus - Grand Couronne à l'image d' Arcelor - Florange mobilise toute notre attention et celle du gouvernement car ces fleurons de l'industrie française le mérite.

 

 


Ces actions vers ces deux entités ne doivent pas être uniquement symboliques: elles doivent s’accompagner d'une part, d’une réflexion stratégique sur l’avenir de la filière acier en France, d'autre part, d'une réflexion sur la transition énergétique.

 


 

Tous les socialistes et tous les citoyens doivent s'engager aux cotés du gouvernement dans une vaste campagne de mobilisation, pour faire du redressement productif une priorité de l'action publique.


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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 06:27

                               Competitivite.jpg

 

Le gouvernement vient d’annoncer une série de mesures susceptibles de « relancer la compétitivité », au lendemain de la présentation du rapport de Louis Gallois. La gravité du bilan de 10 années de droite exige un sursaut. La réussite du changement demande un soutien populaire réel.


Signataires de la motion « Maintenant la Gauche », nous regrettons le caractère précipité de ces annonces et l’absence de négociations préalables avec les organisations syndicales.

 


C’est pourquoi nous estimons que les annonces faites aujourd’hui doivent désormais faire l’objet d’une concertation avec les partenaires sociaux et un débat approfondi avec l’ensemble des forces de gauche et écologistes. Ce qui vaut pour la loi contre les licenciements boursiers, retardée pour laisser la place à une négociation sociale, doit aussi valoir pour une démarche visant à accorder près de 20 milliards de crédit d’impôts pour les entreprises. Clairement, la question des contreparties en termes d’emplois et d’investissements doit être posée.

 


Face à cette crise sans précédent, nous soutenons avec force l’action de redressement productif, le soutien à la croissance et à la création d’emploi, et l’amélioration de la compétitivité. Améliorer la compétitivité c’est investir dans la recherche et dans la formation. C’est relancer l’investissement et la production industrielle.

 


De ce point de vue, le lancement d’une stratégie industrielle de filières, la création d’une banque publique d’investissement ou l’accès des PME aux marchés publics constituent des avancées importantes.

 


Mais nous réitérons notre désaccord sur l’augmentation de la TVA, impôt particulièrement injuste qui, de surcroit, va pénaliser de près de 7 Milliards le pouvoir d’achat des Français. Nous estimons que les arguments développés pendant la campagne électorale contre la hausse de la TVA sont toujours valables et que la compétitivité des entreprises françaises comme la relance des exportations passent par d’autres dispositions que la baisse généralisée du «Coût» du travail.

 


Nous souhaitons en particulier que soit engagées rapidement des démarches au sein de l’UE pour une politique monétaire et douanière favorable aux exportations, et une lutte effective contre le dumping social et fiscal. C’est un enjeu majeur pour notre compétitivité.

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18 octobre 2012 4 18 /10 /octobre /2012 04:56

                                      le-18-je-vote-Maurel.jpg

 

Pour un premier secrétaire militant

qui soit le porte-parole des socialistes aux côtés du Gouvernement et du président,

qui soit le représentant de notre parti sur le plan internationale et au sein du PSE pour défendre la création d'une Europe sociale et politique,

qui soit l'animateur d'une équipe paritaire représentant le Parti dans sa diversité, garant de son unité.

 


Pour un parti fort et mobilisé au coeur de la gauche

Pour un parti qui débatte et qui prépare les conquêtes de demain

Pour un parti fraternel, solidaire

pour un parti d'éducation populaire

Pour un parti rénové

Le 18 octobre, je vote Emmanuelle MAUREL

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 08:33

http://img.over-blog.com/600x221/4/28/68/98/Vote-emmanuel-maurel-18-octobre-parti-socialiste.jpg

 

 

Avec près de 14% des suffrages lors du vote des motions le 11 octobre au niveau national et près de 11% en seine-maritime (plus 3 point par rapport à la motion C en 2008), "Maintenant la Gauche" doit devenir réellement un courant qui s’affirme.
 
Nous avons commencé à faire bouger les lignes du Parti socialiste et nous comptons bien continuer !
 
Nous avons mis les débats sur la table avec des questions aussi importantes que la justice sociale et le travail, la réorientation européenne, la réduction à marche forcée des déficits publics, la relance de l’investissement public, la révolution fiscale, l’urgence écologique, le lien avec toutes les forces de la gauche politique, syndicale et associative, nous avons mis au cœur du congrès les débats qui traversent la gauche et la société.
 
Nous devons réussir là où les autres tentatives de rassemblement de la gauche du Parti Socialiste ont échoué ou n'ont pas osé : un courant socialiste profondément démocratique, qui ne concentre pas la discussion entre les mains de quelques dirigeants ; un courant socialiste qui se dote d'une expression publique libre et puissante par l'intermédiaire d'une véritable presse militante (notamment sur internet) ; un courant socialiste qui propose aux militants de gauche une "université populaire", qui les forme et qui les autorise à innover.
 
Nous ne sommes pas là pour être uniquement la "gauche du PS" mais pour ancrer durablement le Parti socialiste à gauche, dans sa réflexion et dans son action ! 
 
Le jeudi 18 octobre, les militants socialistes désigneront leur premier secrétaire national. 
 
Seuls les premiers signataires des deux motions arrivées en tête peuvent se porter candidat. Emmanuel Maurel sera notre candidat ! 
 
Cette décision a été débattue collectivement et elle était souhaitée largement par les militants de la motion 3, notamment en seine-maritime.
 
Avec notre camarade Emmanuel Maurelle PS peut être le Parti du socialisme et le Parti des socialistes. Nous ne sommes pas une courroie de transmission. Nous ne sommes pas un parti de supporters. Nous sommes beaucoup plus que cela. 
Nous sommes le Parti Socialiste : fort contre la crise, fier de ses valeurs, libre dans ses choix.
Le 18 octobre nous voterons pour Emmanuel Maurel au poste de premier secrétaire du Parti socialiste.

Pour la motion 3 en seine-maritime ( unmondedavance76@yahoo.fr )

Olivier Mouret (mandataire départemental, adjoint au maire de Rouen), Valérie Auvray (conseillère régionale, adjointe au maire d'Elbeuf), Laurent Démare (Fécamp), Patrick Jeanne (Maire de Fécamp, vice-président du département de seine-maritime), Philippe Lavergne (adjoint au maire de Maromme), Edouard Bénard (Canteleu), Jean-Claude Branchereau (Sotteville-lès-rouen), Jacques Bennetot (Yvetot), Aurélien Bateux (Le Havre), Christophe Courcoux (Fécamp), Elisabeth Labaye (Rouen), Denis Lacaille (Petit Quevilly), Paul Lebouc (Le Havre), Arnaud Mouillard (Blacqueville), Christophe Pouliquen (Sotteville-lès-rouen) ...

 

http://www.maintenantlagauche.com


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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 18:37

je vote Maintenant la gauche 11 octobre 2012

 

Le Parti Socialiste est un parti de débats.

Si nos congrès se sont parfois, hélas, réduits à des questions de personnes, celui de Toulouse, après les victoires aux élections présidentielles et législatives, peuvent librement donner lieu au nécessaire débat d'idées. 

La «motion unique» aurait inévitablement été un retour à ces confrontations de personnes que nous déplorons. Soudés au sein de la motion «Maintenant la Gauche», nous socialiste seinomarins, voulons agir, au service de tous les citoyens.

Les socialistes ont la majorité dans de nombreuses institutions. Leur parti se doit donc d'être, plus que jamais, ancré dans la réalité des Français. A l'écoute de l'opinion, présent sur le terrain dans le mouvement social et associatif, il doit être à la fois le relais des actions du gouvernement et une force de propositions et d'innovations. La motion 3 («Maintenant la Gauche»), présentée au congrès de Toulouse et dont le 1er signataire est Emmanuel Maurel, a le mérite de poser clairement devant les militants socialistes les problèmes urgents auxquels nous devons répondre.

Elle aborde par exemple des questions aussi importantes que : le refus de l'austérité, la volonté de créer enfin une Europe sociale, la redistribution des richesses par une augmentation du pouvoir d'achat ( salaires, minima sociaux, égalité homme femme, allocation autonomie...) et par une reforme fiscale d'ampleur, la lutte contre les licenciements boursiers et les délocalisations, les outils pour la réindustrialisation, l'urgence écologique, l'égalité réelle, une autre mondialisation, une VIe République davantage parlementaire et limitant le cumul des mandats.

Cette motion défend également le rassemblement de l'ensemble des forces de gauche et écologistes et elle propose la constitution d'un comité permanent de liaison entre tous ces mouvements.

Notre ambition est de construire ce parti actif et combattif qui soutiendra le gouvernement de Jean-Marc Ayrault dans sa difficile tâche de redressement de notre pays.

C'est pourquoi, le 11 octobre nous voterons pour la motion 3 "Maintenant la gauche".

 

Pour la motion 3 en seine-maritime ( unmondedavance76@yahoo.fr )

Olivier Mouret (mandataire départemental, adjoint au maire de Rouen), Valérie Auvray (conseillère régionale, adjointe au maire d'Elbeuf), Laurent Démare (Fécamp), Patrick Jeanne (Maire de Fécamp, vice-président du département de seine-maritime), Philippe Lavergne (adjoint au maire de Maromme), Jean-Claude Branchereau (Sotteville-lès-rouen), Jacques Bennetot (Yvetot), Aurélien Bateux (Le Havre), Christophe Courcoux (Fécamp), Elisabeth Labaye (Rouen), Denis Lacaille (Petit Quevilly), Paul Lebouc (Le Havre), Arnaud Mouillard (Blacqueville), Christophe Pouliquen (Sotteville-lès-rouen) ...

 

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