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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 06:50

 

 

 

Adeline Hazan Communiqué de presse par Adeline Hazan, Conseillère auprès du Premier secrétaire en charge de la parité.


 
L’UMP a rendu public son nouvel organigramme. Parmi les 20 vice-présidents, ne figure qu’une seule femme.

 
 
Difficile de s’en étonner : la droite a montré avec une grande constance ces dernières années l’absence totale d’intérêt qu’elle porte à l’égalité entre les femmes et les hommes et notamment à l’accès des femmes aux responsabilités politiques.

 
 
La réforme territoriale qu’a portée l’UMP en 2009 aurait, par le recul du scrutin de liste au profit du scrutin uninominal, fait perdre aux femmes 60% des sièges qu’elles occupent dans les conseils généraux et régionaux. Le groupe UMP à l’Assemblée nationale ne compte même pas 15% de femmes. Les députés UMP s’illustrent chaque jour, à l’occasion des débats sur le projet de loi ouvrant le mariage aux couples de même sexe, par des déclarations sur le rôle des femmes dans la famille et la société dignes des années 1950.

 
 
A l’inverse de l’UMP, les socialistes sont résolument engagés pour les droits des femmes et la parité. Le gouvernement est entièrement paritaire. Depuis le Congrès de Toulouse, les instances nationales du PS sont paritaires.

 
Le Parti socialiste rappelle que la parité n’est pas un gadget. Elle est un puissant levier de lutte contre l’exclusion des femmes de la prise de décision et la monopolisation du pouvoir par les hommes. L’accès des femmes aux responsabilités politiques et plus largement à la sphère publique est une condition de leur émancipation. L’UMP s’illustre une fois de plus comme le temple du conservatisme et du machisme. De leur côté, les socialistes continueront de mener une politique volontariste et progressiste en matière d’égalité entre les femmes et les hommes.

 

                                                                                  Poing-et-rose.jpg

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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 20:31
Petroplus.jpg
 
Lundi 4 février, il y avait un doute sur des offres de reprise mais la volonté était là. L’Etat réaffirmait son engagement pour une participation financière minoritaire via le FSI. Guillaume Bachelay, député de la circonscription, insistait devant les salariés en déclarant que « minoritaire, ça allait jusqu’à 49,99 % ».
 
Et mardi soir, une première manche était gagnée : il y avait 5 offres dont 2 déclarées sérieuses par Bercy !
 
Nouveau coup de théâtre avec le refus des administrateurs de demander une audience au tribunal de commerce. Raison principale : des administrateurs qui appliquent la loi au pied de la lettre, parce qu’il manque des documents au dossier … Pour eux, une demande d’audience ne peut avoir lieu que si un dossier est complet.
 
Désormais, les candidats repreneurs peuvent déposer un dossier directement au greffe du Tribunal et demander une audience de cession. L’enjeu d'aujourd'hui, c'est de coordonner, de faire accélérer tout le monde pour déboucher sur le projet industriel le plus simple à compléter et le plus solide pour l’avenir.
 
C’est une nouvelle étape et il faut continuer le combat vers la victoire.
 
Debout, les Pétroplus le sont. On a voulu les tuer trop de fois pour que cela les affecte. Debouts ils sont, debouts nous devons être avec eux. Avec la solidarité, avec l’unité entre syndicalistes, salariés, élus on peut, on doit réussir.

Des repreneurs sérieux, un financement public, c’est le schéma d’une nationalisation temporaire si c’est nécessaire. On n’en est pas là mais aucune hypothèse ne doit être écartée.

 
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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 19:56
                   Petroplus-copie-1        
                  
Le PS de Seine-Maritime appelle au rassemblement avec les salariés de Pétroplus, mardi 5 février à 12h, sur le parvis de la raffinerie, à Petit-Couronne.

 
Cette date est celle que la justice a fixée pour le dépôt des offres de reprise. Il s’agit d’une étape cruciale vers le dénouement du processus judiciaire, dont l’issue sera la décision du Tribunal de commerce d’autoriser ou non la reprise, en précisant par qui. Depuis près d’un an et demi, les militants et élus socialistes de Seine-Maritime accompagnent les salariés de Pétroplus dans leur combat pour la survie de l’outil de production et des emplois qui y sont associés, les leurs mais aussi tous ceux que l’activité induit dans la commune et au-delà. Par leur présence systématique aux rassemblements initiés par l’intersyndicale, les militants socialistes ont contribué à montrer l’attachement des Seinomarins à l’avenir de ce site, où se joue en partie celui de la filière.

Ils étaient encore nombreux, samedi dernier, au siège départemental du PS, pour la présentation de l’ouvrage Debout relatant la lutte « des Pétroplus ». Par leur travail aux côtés des acteurs de cette lutte, les élus socialistes, emmenés par Dominique Randon, maire de Petit-Couronne, et Guillaume Bachelay, député de la circonscription, ont contribué aux succès déjà enregistrés : redémarrage à l’été 2012, « loi Pétroplus » réservant l’utilisation des stocks à des fins productives, débat européen sur les importations de produits raffinés, valorisation du rôle des syndicats, proposition de loi sur la cession des sites rentables….


Depuis son installation, le nouveau gouvernement a oeuvré à lever tous les obstacles administratifs à la reprise. C’est aujourd’hui acquis. Il appartient désormais aux entreprises intéressées de démontrer leur capacité à assumer durablement l’ensemble des obligations auxquelles le dépôt d’une offre les engagera. Au-delà, le PS et ses élus considèrent que Shell doit enfin prendre ses responsabilités, en apportant son appui aux efforts de tous. Il n’est pas acceptable que Shell ait exploité ce site pendant des décennies, avant de le céder à Pétroplus sans garantie industrielle, mais s’exonère à présent de toute contribution.


Ce combat durera sans doute au-delà du processus judiciaire. Il sera mené avec la même détermination.

 
PS Seine-Maritime, Rouen le 4  février 2013

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 13:22

 

              Maintenant-la-gauche-actu.jpg

 

 

Le 11 janvier dernier, le patronat a signé avec trois organisations syndicales interprofessionnelles, la CDFT, la CFTC ainsi que la CFE-CGC, un accord sur l’emploi dit de « flexi-sécurité ». Les nouveaux droits consentis aux salariés français se verraient accordés en co ntrepartie d’efforts conséquents quant à une flexibilisation accrue de leurs conditions de travail.


Le Gouvernement affirme en effet vouloir « transposer » l’ANI tel quel dans un projet de loi qui serait déposé en Conseil des Ministres au cours de la première quinzaine de mars.


Les socialistes et la gauche ont toujours considéré qu’un accord était majoritaire non pas lorsqu’il était signé par une majorité d’organisations syndicales (3 sur 5 organisations syndicales interprofessionnelles représentatives) mais lorsque les signataires représentaient une majorité de salariés. Or, Les parties signataires de cet ANI sont la CDFT, la CFTC et la CGC, ne représentent que 38% des salariés.


Par ailleurs, cet accord contient de nombreuses régressions sociales que les quelques avancées ne peuvent en aucun cas justifier et prévoit des clauses contraires aux engagements de la gauche et du candidat à la présidentielle. En l’état, il est manifeste que ce texte est déséquilibré en faveur du patronat.


Nous pensons que le Parlement doit jouer pleinement son rôle de législateur garant de l’intérêt général et de l’ordre public social, pour rééquilibrer un accord qui ne l’est pas aujourd’hui.


Les représentants de la motion 3 Maintenant la Gauche ont voté contre (et ont d’ailleurs été les seuls à le faire) le communiqué trop enthousiaste du Parti Socialiste au sujet de l’ANI et demandé que les parlementaires améliorent par la loi cet accord, dans un souci d’écoute de toutes les organisations syndicales, y compris les non signataires.

 


Vous trouverez ci-dessous une analyse détaillée de l’Accord National Interprofessionnel du 11/01/2013.

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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 06:26

 

                                     Blog-OM.jpg

 

 

Il y a donc un an que ce blog est ouvert et, j'étais loin de croire à cette époque qu'une année plus tard, vous seriez près de 10 000 à être venus lire mes modestes écrits (seul 20% des articles publiés sont des reprises de camarades politiques ou bloggeurs). J'étais donc loin de croire que je me prendrais au jeu de l'écriture régulière (un article tous les trois jours), j'étais surtout loin de croire au succès rencontré et aux nombreux messages que j'ai pu recevoir tout au long de l'année.

 

   UMP panique Camion dans la ville Ecrire EHPAD Rouen fermeture Shell


 

Bien sûr, la période était propice à l'épanouissement d'un blog politique avec les campagnes électorales victorieuses pour la gauche et, de nombreux articles sur ce thème dont "Quand la panique monte" http://0z.fr/QKOoT ( billet le plus lu de toute la période) ont remporté votre adhésion. Les sujets de société avec le combat des résidents d'ARC V  "On achève bien les vieux" http://0z.fr/h3SXB ou l'emblématique lutte des Petroplus "#Petroplus: Shell a tout à perdre" http://0z.fr/HYp_k  ont également marqué une opinion emprunte de justice sociale, de Justice tout court. Pour autant, la fréquentation s'est poursuivie et même accentuée depuis la rentrée, à ma plus grande surprise. Un sujet sur les médias "Quand les médias empoissonnent la démocratie" http://0z.fr/wPGZq est devenu le plus vu de la courte histoire de ce blog ou des sujets plus locaux mais très prégnants, tels les suites de l'incendie du pont Mathilde "Attention, les camions sont en ville" http://0z.fr/KWERD ou la régularisation du petit Wilfried "Demain, j'irai planter ma tente..." http://0z.fr/d5hn5 ont suscité de nombreuses réactions.

 

 

Encouragé par nombre d'entre vous, je continuerai à m'exprimer sur tous les sujets qui me touchent, sans complaisance, sans démagogie, ni langue de bois, fidèle à mes convinctions et dans un souci constant de vérité.


 

Merci encore de votre soutien.

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 06:06

 

 

                                logement-social-Rouen.jpg 

                                             Logement social à Rouen rive gauche

La construction de logements dans notre pays connaît une chute importante. Cette situation est alarmante, car elle va accroître la crise du logement et le chômage, en particulier dans le secteur du bâtiment. La crise vient de loin. Le secteur de l’immobilier a été anormalement dopé pendant des années par la droite, à coup d’avantages fiscaux coûteux, destinés prioritairement aux propriétaires investisseurs, distribués sans contreparties réelles en termes de loyer. Le nombre de propriétaires occupants n’a quasiment pas évolué, tandis que la rente foncière d’une minorité s’est considérablement accrue, encourageant une  hausse excessive des prix [...]

 

 

Le gouvernement précédent n’a pas donné au mouvement HLM les moyens de répondre aux besoins des Français. Prélèvement sur les organismes, passage de la TVA de 5,5% à 7%, poursuite de la baisse des crédits d’aide à la pierre : ces mesures ont porté un rude coup au mouvement HLM et remis en cause ses capacités à produire un nombre suffisant de logements comme à rénover le parc existant. Elles ont contribué au renchérissement des loyers du parc neuf.[...] La priorité absolue doit être accordée à une production soutenue et croissante de logements sociaux. Car là sont les besoins et là se trouvent les leviers d’une reprise rapide. Tous les experts s’accordent à juger que la construction de logements HLM constitue une opportunité efficace d’action contra-cyclique face à la crise.

 

                logement-social-Rouen-2.jpg 

                          Futurs logements sociaux Rouen rive droite en lieu et place du lycée hotelier rue de l'avalasse

 

 

Le gouvernement Ayrault et la ministre du logement, Cécile Duflot, ont pris des premières décisions positives : encadrement des loyers à la relocation, mise à disposition gratuite de terrains publics pour des logements sociaux, durcissement de la loi SRU par le passage à 25% du taux minimal de logements locatifs sociaux, suppression du prélèvement sur certains organismes HLM, légère augmentation des aides à la pierre. Pour atteindre effectivement l’objectif présidentiel d’une production annuelle de 150 000 logements sociaux, il est nécessaire d’aller plus loin et d’assurer dans le temps les conditions financières de production du logement social. La décision de passer la TVA de 5,5% à 10% pour la construction des logements sociaux et la rénovation des bâtiments aurait des effets catastrophiques sur la reprise de la construction et l’amélioration de l’offre de logement, alors même que le coût du logement en France, en location ou en accession, représente un poids considérable dans le pouvoir d’achat des ménages et leur mobilité.

 

 

Décider d'instaurer un taux reduit de TVA sur le logement social (5,5 % en 2013 et 5% en 2014) est une nécessité. Depuis plus de 20 ans, le financement des logements sociaux est structurellement assuré par des prêts de la Caisse des dépôts adossés au Livret A, ainsi que par ce taux réduit de TVA, qui vient en lieu et place d’un haut niveau de subvention d’Etat. Changer la donne constitue une fragilisation majeure, dont les premières victimes seront les millions de Français qui cherchent à se loger dignement dans des conditions financières acceptables.[...]

 

 

Le logement social, un bien de première nécessité, doit retrouver, dès le début 2013, un taux de TVA réduit. Il y a urgence sociale et urgence économique.Les groupes de gauche et les écologistes au Sénat et à l’Assemblée nationale ont déposé des amendements dans ce sens lors des débats budgétaires. Le gouvernement ne les a pas entendus et il a été prévu qu’un taux de 10% de TVA sera appliqué au logement social en 2014. En responsabilité, nous affirmons avec force qu’on ne peut laisser le taux de TVA du logement social doubler en 3 ans. La reprise de la construction de logements, particulièrement dans le secteur HLM, ne pourra s’effectuer sans un coup d’accélérateur majeur et un taux de TVA réduit reconnaissant sa participation à la satisfaction d’un besoin de première nécessité. C’est une mesure anti-crise essentielle, en raison de ses effets sur la régulation des prix, la reconquête du pouvoir d’achat et la création d’emplois durables et non délocalisables. C’est aussi un soutien aux entreprises du bâtiment.

 

 

Issus de toutes les forces politiques de gauche et écologistes qui ont concouru à l’élection de François Hollande et à une majorité à l’Assemblée nationale et au Sénat, nous appelons solennellement à ce que soit engagé cet effort prioritaire et immédiat en faveur du logement social. Il s’agit de répondre aux attentes majeures d’un très grand nombre de foyers et de contribuer, par la relance de l’activité, à la lutte pour l’emploi.

 

 

Vous pouvez retrouver la totalité de cette tribune sur le site de Médiapart: http://blogs.mediapart.fr/edition/les-batailles-de-legalite/article/160113/logement-social-la-tva-taux-reduit-c-est-maint 

 

Premiers signataires

Emmanuelle Cosse (EELV), vice-présidente de la région Ile-de-France en charge du logement

 Daniel Golberg (PS) député

Pierre Laurent (PCF),sénateur, secrétaire national

 Marie-Noëlle Lienemann (PS), sénatrice, ancienne ministre du logement

 Marianne Louis (PS), maire-adjointe d’Evry (Essonne), conseillère régionale
 

Stéphane Peu (PCF), maire-adjoint de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), président de Plaine commune habitat
 

Jean-Vincent Placé (EELV), sénateur, président du groupe écologiste
 

Paul Quilès (PS), ancien ministre de l’équipement et du logement

 

 

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 07:06

 

        Refonder-l-ecole-2.JPG


    L'élévation de la qualification de tous est une aspiration que la gauche a toujours portée. Alors que le déterminisme social est encore très fort dans l'accès aux diplômes et par conséquent aux emplois les mieux rémunérés et apportant un réel épanouissement personnel dans l'activité professionnelle, la refondation de l'école annoncée par le gouvernement doit marquer la volonté de la majorité de gauche désormais au pouvoir de permettre à tous les jeunes d'aller le plus loin possible dans leurs études et leur formation.

 


    L'éviction précoce des jeunes issus des milieux populaires du système scolaire est un des mécanismes les plus pernicieux du maintien des inégalités dans notre société. Rares sont en effet les enfants de cadres ou issus de familles à haut niveau de revenus qui quittent le système scolaire à l'âge légal de la fin de la scolarité obligatoire, même lorsqu'ils sont en en difficulté dans les apprentissages. Trop nombreux en revanche sont ceux qui, poussés par un système encore trop fondé sur la reproduction des élites ou dégoutés par une orientation subie, se retrouvent à 16 ans abandonnés à un marché du travail qui ne veut pas d'eux, dans lequel ils n'ont que très peu de aucune chance de s'insérer, et voués ainsi à une vie professionnelle faite de précarité et d'emplois qui ne leur permettront jamais de vivre décemment.

 


   Depuis la création de l'école publique et laïque, les grands progrès dans la démocratisation de l'enseignement se sont toujours faits par le biais de l'obligation scolaire.

 

                                      Refonder-l-ecole-3.jpg

 


   L'école de Jules Ferry était laïque, gratuite, et surtout obligatoire jusqu'à 13 ans. Le Front populaire l'avait porté, en 1936, à 14 ans. Quant au plan Langevin-Wallon, conçu à la Libération comme la traduction des aspirations de toute la gauche à une école démocratique, il prévoyait de l'élever à 18 ans. Mais la machine est restée en panne. Depuis 1959, on considère que la société a rempli son devoir en donnant, jusqu'à 16 ans, une formation scolaire aux jeunes. Pouvons-nous considérer, aujourd'hui, soixante ans après, que cet âge fixé à une époque où le diplôme de référence était encore le certificat d'études, ne doive pas évoluer ? Chacun sait que la société a changé, que le travail, y compris celui dit « manuel », suppose des connaissances, des compétences, qui ne peuvent raisonnablement être acquises après seulement 4 ou 5 années de collège. Dans une société de la connaissance, il est plus difficile qu'hier de trouver sa place quand on n'a pu se doter des outils pour l'appréhender.Même dans le domaine des formations professionnelles, le niveau de qualification de référence qui s'impose désormais est celui du baccalauréat.

 

 

   Aujourd'hui, la gauche qui s'est engagée dans la refondation de l'école a l'occasion de marquer sa volonté de s'engager dans l'accès de tous à une qualification ayant du sens pour notre temps. Sans dénaturer en rien le projet de loi qui sera déposé, les parlementaires socialistes auront la possibilité de faire inscrire dans la loi l'obligation scolaire jusqu'à 18 ans, en l'accompagnant de l'ouverture d'une véritable réflexion sur le lycée général, technologique, professionnel, afin que ces années « lycée » soient celles de toute la classe d'âge. Une occasion qu'il ne faudra pas manquer, pour donner du souffle à la refondation de l'école.

 

                                          par Elizabeth Labaye, Conseil fédéral 76 et Hervé Le Fiblec, CNCF, Bureau fédéral 60

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19 janvier 2013 6 19 /01 /janvier /2013 18:32

Manifestation-mariage-pour-tous-rouen-20-janvier-2013-02.jpg

 

Ce  samedi 19 janvier 2013, a eu lieu à Rouen une marche pour l'Egalité des droits (mariage, adoption, PMA...) pour tous les couples. Organisée par deux associations LGBT Rouennaises :  LGBT Droits de  Cité et  Gay Sneaker Normandie, cette manifestation a rencontré un très beau succès.  Malgré le froid et la neige, l'impressionnant cortège d'environ 2000 personnes a défilé dans la bonne humeur dans les rues de Rouen.


Cette manifestation a rassemblé de nombreuses organisations associatives, syndicales et politiques. De nombreux élus locaux ont également été présent du début à la fin de la marche avec notamment en tête du cortège Yvon Robert, le Maire PS de Rouen, ainsi que de nombreux adjoint(e)s, élus des autres villes de l’agglomération, députés…Durant cette manifestation où l’ambiance fut chaleureuse et festive, on pouvait croiser notamment Guillaume Bachelay, député de seine-maritime et numéro 2 du PS, Valérie Auvray, Conseillère Régionale, Claude Taleb ou Nicolas Mayer-Rossignol, vices-présidents de la Région …

 

Sans oublier les Petroplus représentés par Yvon Scornet et Nicolas Vincent, mes camarades jean-Claude Branchereau, Antoine Tredez, Arnaud Mouillard, Paul Lebouc ou encore Hervé Bateux.


Comme l’a écrit mon ami Nicolas Vincent sur Twitter « L'égalité c'est maintenant ! A la manif pour le mariage pour tous ! L'égalité tout le temps par tous les temps ».

 

 


 

 

Manifestation-mariage-pour-tous-rouen-20-janvier-2013-03.jpg

 

 

Manifestation-mariage-pour-tous-rouen-20-janvier-2013-01.jpg

 


 


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19 janvier 2013 6 19 /01 /janvier /2013 06:37

 

                                     Rose-des-Sables.jpg.

 

L'ouverture de la résidence pour personnes âgées "Rose des Sables" près de la gare de Rouen rive droite marque un tournant dans l'offre de logements sociaux à destination des seniors sur notre commune. Première construction neuve depuis 40 ans dans ce domaine, elle est la première pierre d'un vaste plan de constructions et de rénovation des résidences-services municipales afin de mieux répondre aux besoins de nos aînés.

 

                                     Rose-des-sables-2.jpg


Inauguration ce samedi à 11h00.

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 06:29

     Raffarin  Gaudin.jpg  Hortefeux.jpg  Longuet.jpg  Karoutchi-2.jpg

 

A l'annonce de la nouvelle équipe dirigeante de l'UMP, de nombreux observateurs mais aussi de nombreux jeunes militants de droite ont souri pour les premiers, ont manqué de s'étrangler pour les seconds. L'annonce en deux temps de cette "nouvelle" équipe, en l'absence du maréchal battu (Fillon était officiellement retenu de longue date à cette heure), est en réalité un putsch réussi des vieux grognards.

 

 

En effet, la composition des vice-présidences s'apparente plus au visionnage en super 8 de trente dernières années du parti gaulliste que d'une opération commando en vue d'une hypothétique reconquête. Verrouillage à tous les niveaux et souvent à double tour puisque les postes ont été doublés entre les troupes des deux belligérants. D'évidence, il a bien fallu maquiller tout cela en nommant quelques quadras mais ce n'est pas la présence cumulée d'un trio féminin dirigé par Pécresse la Tigresse, flanqué de Morano et Tabarot (Rosso-Debord a été évincée car jugée trop.... décomplexée) qui occulte le retour en première ligne des tontons flingueurs.

 

 

                          Morano.jpg               Pecresse.jpg           Tabarot.jpg

 

Deuxième enseignement de cette nouvelle équipe et sûrement la plus importante, c'est la fin de la parenthèse démocratique dans un parti qui pour son unique tentative aura réussi à se ridiculiser au yeux de tout le pays: amateurisme à tous les niveaux, absence de fichiers, votes multiples, commissions incompétences aux noms prédestinés, bref la panoplie complète des pieds nickelés électoraux. Le vote sur les textes d'orientation a été totalement occulté et, les tenants de ces textes ont été renvoyés aux oubliettes de la dictature sarkozienne. EN résumé, le printemps de la droite la plus réac d'Europe n'est pas pour demain.

 

 

Enfin, en guise de cerise sur le gâteau de l'ex-parti unique d'opposition, est nommé comme président théodule sire Raffarin, dit polichinelle, l'homme aux milles courbettes, sera chargé de la diplomatie interne. Nous leur souhaitons à tous bon vent pour la saison 2.

 

 

 

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